AGRICULTURE NUMÉRIQUE
AGROLANDES est le premier acteur dans le Sud-Ouest à mettre en place une telle initiative. En se basant sur les réflexions d’un groupe de travail constitué de plusieurs entreprises Landaises, le GIP a mis en avant plusieurs enjeux et pistes de travail sur le numérique.
Parmi les applications visées
LA GESTION
DES INTRANTS
DES INTRANTS
LA GESTION OPTIMALE
DU PILOTAGE DE L’IRRIGATION
DU PILOTAGE DE L’IRRIGATION
LA MAÎTRISE DES SYSTÈMES
DE PRODUCTION
DE PRODUCTION
Un premier enjeu autour des données agricoles
À ce jour, la notion de propriété des données agricoles n’est pas encadrée juridiquement. Aussi, la question du partage de données est un frein important au développement du Big Data agricole.
Avec le développement du numérique dans l’agriculture, les agriculteurs s’interrogent par rapport à la collecte des données, leur détention et leur exploitation par des entreprises extérieures ou fournisseurs de services (coopératives, chambres d’agriculture, éditeurs de logiciels, constructeurs de machines, services publics, etc.).
AGROLANDES se propose de fournir à ses adhérents un état des lieux de tout ce qu’il est possible de faire en matière de données agricoles.
Avec le développement du numérique dans l’agriculture, les agriculteurs s’interrogent par rapport à la collecte des données, leur détention et leur exploitation par des entreprises extérieures ou fournisseurs de services (coopératives, chambres d’agriculture, éditeurs de logiciels, constructeurs de machines, services publics, etc.).
AGROLANDES se propose de fournir à ses adhérents un état des lieux de tout ce qu’il est possible de faire en matière de données agricoles.
Au-delà des problèmes de gouvernance, il est aussi nécessaire de savoir quelles sont les données de base essentielles à la construction d’OAD (outils d’aide à la décision) et quels sont les outils qui permettront de générer et d’enregistrer ces données.
AGROLANDES et la fédération CUMA 640 ont fait le constat que les agriculteurs utilisent de nombreux capteurs et autres outils pour enregistrer différents types de données. Plusieurs logiciels sont également utilisés pour traiter et mettre au format ces mêmes données (format PAC, Coopérative, Intrant …). Cependant, les formats exploités par les différents logiciels ne sont pas compatibles entre eux. Le besoin identifié serait de pouvoir développer un système de traitement universel des données pour que l’utilisateur reste maître dans le choix du système d’exploitation de celles-ci.
AGROLANDES, un outil au service des entrepreneurs du territoire
Un second enjeu sur l'accessibilité au numérique
Le second enjeu prioritaire pour les professionnels du territoire reste la couverture réseau et les conséquences pour les exploitations ne pouvant avoir accès à une connexion suffisante pour émettre ou recevoir des informations.
L’objectif à court terme est de pouvoir établir un état des lieux des solutions technologiques alternatives concernant la création de réseau sur un territoire donné (solution radio, satellitaire, …).
Ainsi, il s’agira de mettre en place un démonstrateur permettant une validation technico-économique à grande échelle de services innovants, de startup du numérique via un réseau de fermes existantes et de créer des bases de données et des algorithmes permettant d’exploiter ces données.
Cet axe a donc pour objectif de faire entrer le numérique au service des acteurs des filières agricoles. En créant une ferme expérimentale équipée de capteurs et de logiciels de traitement, il sera possible de procéder à des analyses de données sur la gestion de l’eau, l’énergie, l’alimentation.
Le projet veut mettre à disposition des start-up du numérique un réseau de fermes où ils pourront expérimenter leurs services. Les futurs OAD (outils d’aide à la décision) serviront à tous les domaines de l’agriculture y compris la sylviculture et l’aquaculture.
L’objectif à court terme est de pouvoir établir un état des lieux des solutions technologiques alternatives concernant la création de réseau sur un territoire donné (solution radio, satellitaire, …).
Ainsi, il s’agira de mettre en place un démonstrateur permettant une validation technico-économique à grande échelle de services innovants, de startup du numérique via un réseau de fermes existantes et de créer des bases de données et des algorithmes permettant d’exploiter ces données.
Cet axe a donc pour objectif de faire entrer le numérique au service des acteurs des filières agricoles. En créant une ferme expérimentale équipée de capteurs et de logiciels de traitement, il sera possible de procéder à des analyses de données sur la gestion de l’eau, l’énergie, l’alimentation.
Le projet veut mettre à disposition des start-up du numérique un réseau de fermes où ils pourront expérimenter leurs services. Les futurs OAD (outils d’aide à la décision) serviront à tous les domaines de l’agriculture y compris la sylviculture et l’aquaculture.